Alors que la fête de la musique bat son plein et permet à tous les français d’entendre la classe de CE2 de Madame Julot massacrer la lettre à Elise à la flûte à bec où de jeunes rebelles reprendre Nirvana à la fois sans talent et sans ampli, nous avons poursuivi la Great Ocean Road pour aller sur Melbourne.

Puisqu’on parle chansons, CharlElie Couture avait chanté Melbourne aussi.  C’était il y a quelques années, et il y avait aussi une super chanson, Jacobi Marchait.

Bon tout cela pour dire que nous aussi(e) on est allé voir Melbourne. Et on a bien aimé. Melbourne revendique le titre de capitale culturelle de l’Australie. Premières impressions : vie assez bouillonnante, combinaison de New York pour un plan en « grid » (comprendre des rues à angle droit), de Londres (une ville séparée en deux par une rivière avec de belles promenades en son long, comme Southbank), un peu de Paris (densité de restaurants au mètre carré impressionnante) et peu être un peu de plein de villes du monde, car Melbourne est très cosmopolite. Cette ville de 4,5 millions d’habitants est une terre d’accueil d’une immigration asiatique et européenne venue dès le XVIIIème siècle au moment d’une ruée vers l’or, trouvé non loin de là. Puis au tournant du XXème siècle une immigration européenne (italienne, grecque en particulier), et plus récemment du sous-continent indien et Sud Est asiatique. Mais bon il faut que j’arrête de recopier le Larousse ca va finir par se voir.

Sur les photos vous nous verrez soit en train de manger (italien, singapourien, malais), soit dans un musée, soit dans la rue.  Vous nous verrez avec des blousons car il faisait autour de 9 / 12 degrés. Pas chaud mais pas grave, on en profite quand même!

PS. dédicace spéciale à Guillaume D : on a vu le stade de tennis. Comme cela quand tu seras champion on pourra t’accompagner plus facilement! J’ai voulu aller jouer contre Pat Cash, star locale et ex gloire du tennis mondial, dont la coupe de cheveux n’est pas sans rappeler les plus belles coupes de joueurs de foot du milieu des années 80 (ca c’est pour Johan G). En prime, un match de légende. Enfin il parait.

JD